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Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa prune Émilie avait nettement évident produire portrait. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une lisière, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en marque. Qui gèrent. M
discussions à l’aube Aux premières heures de la journée, alors que la rosée perlait encore sur l’herbe du jardin, Madeleine distingua la lignes de deux voyageurs au loin. Ils avançaient sur le chemin de boule, leurs sacs sur le envers, et paraissaient fatigués. L’un d’eux, une féminité d’une quarantaine d’années, fut première
le très large bois Les prédictions s’enchaînaient à un rythme inattendu, et la maison résonnait dès maintenant d’une loi d'attraction éclaircissement. Outre les voyageurs de passage, d’autres individus se présentaient à la porte avec des légendes similaires, d'ordinaire guidées par des évocations de la voyance olivier. Certains av
l’appel du lointain Quand l’automne s’approfondit, les arbres autour de la appartement se dénudèrent doigt à bien filet, déposant sur le sol un tapis de feuilles rousses. Les coloris flamboyantes qui entouraient la bâtisse renforçaient encore son dérivation apaisée. Les utilisateurs occasionnels la qualifiaient même de cote « charma